France. TikTok continue d’orienter les enfants et les jeunes déjà fragiles vers des contenus dépressifs et suicidaires
Le rapport d’Amnesty International traite de sujets sensibles comme l’automutilation et le suicide.
Le rapport d’Amnesty International traite de sujets sensibles comme l’automutilation et le suicide.
En réaction à l’annonce de l’accord entre Israël et le Hamas sur la première phase d’un cessez-le-feu, qui comprendrait l’ouverture immédiate de cinq points de passage permettant l’entrée de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, la libération rapide de tous les Israélien·ne·s et autres ressortissants encore en vie retenus en otage à Gaza en échange de prisonniers palestiniens, et le retrait partiel de l’armée israélienne de la bande de Gaza occupée, Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International, a déclaré :
À l’approche de la présentation du rapport sur l’Iran du secrétaire général de l’ONU le 16 octobre 2025 et des rapports soumis conjointement par la rapporteuse spéciale et la mission d’établissement des faits sur l’Iran à la Troisième Commission de l’Assemblée générale des Nations unies le 30 octobre 2025, Hussein Baoumi, directeur régional adjoint d’Amnesty International pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, a déclaré :
Une enquête indépendante doit être immédiatement ouverte sur la répression violente des manifestations de jeunes par les forces de sécurité marocaines, au vu des informations dignes de foi selon lesquelles au moins trois manifestants ont été tués, des dizaines d’autres blessés et plus de 400 personnes arrêtées à travers le Maroc depuis fin septembre 2025, a déclaré Amnesty International le 3 octobre.
Amnesty International a envoyé un courrier à la FIFA et à l’UEFA pour les appeler à suspendre la participation de la Fédération israélienne de football (IFA) à leurs tournois tant qu’elle n’aura pas interdit aux clubs installés dans des colonies illégales sur le Territoire palestinien occupé de continuer de jouer au sein des championnats israéliens.
La suspension brutale, incohérente et de grande ampleur par l’administration Trump de l’aide internationale prodiguée par les États-Unis met en péril des millions de vies et les droits fondamentaux dans le monde entier. Dans son rapport intitulé Lives at Risk, rendu public jeudi 29 mai, Amnesty International examine la manière dont ces coupes ont mené à la suspension de programmes essentiels dans le monde entier, dont beaucoup fournissaient des soins de santé, la sécurité alimentaire, des hébergements, des services médicaux et un soutien humanitaire à des personnes en situation d’extrême vulnérabilité, notamment des femmes, des filles, des victimes de violences sexuelles et d’autres groupes marginalisés, ainsi que des réfugié·e·s et des personnes en quête de sécurité.
Les informations recueillies par Amnesty International sur le recours à la peine de mort dans le monde en 2024 font état de 1 518 exécutions recensées au cours de l’année, ce qui représente une hausse de 32 % par rapport aux 1 153 exécutions enregistrées en 2023. Pour la deuxième année consécutive, les pays procédant à des exécutions ont atteint le chiffre le plus bas jamais enregistré.
Réagissant à une série de frappes israéliennes menées dans la nuit du 17 au 18 mars dans la bande de Gaza occupée, qui ont tué au moins 414 Palestinien·ne·s, dont 174 enfants, et causé l’hospitalisation de 550 autres, et ont unilatéralement mis fin à la trêve avec le Hamas, Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International, a déclaré :
La possibilité de communiquer en ligne avec des personnes dans le monde entier peut être un puissant atout pour mener des actions positives. Mais elle crée également de nouveaux canaux permettant à des personnes, et à l’État, d’infliger des violences et de causer des préjudices à une tout autre échelle.
À l’ère du numérique, la lutte pour les droits humains est plus importante que jamais. Elle permet à tous et à toutes de s’exprimer en ligne, de partager des opinions, et de créer, utiliser et accéder à la technologie de manière sûre et juste.
Le travail en faveur de la justice raciale dans le cadre des droits humains implique d’aller au-delà de la prévention des cas individuels de discrimination à caractère raciste et de lutter contre l’oppression structurelle. Cela implique de travailler en faveur d’un changement systémique et de solutions, en ciblant les causes premières de l’oppression raciale, car celle-ci se conjugue avec le patriarcat, l’héritage du colonialisme et de l’esclavage, ainsi que l’inégalité économique.
Depuis 1998, Amnesty International Maroc participe au Salon International de l’Édition et du Livre (SIEL), une occasion essentielle pour sensibiliser le grand public et les partenaires à la culture des droits humains. Cet engagement vise également à renforcer le recrutement de nouveaux membres et à mobiliser des actions de solidarité.