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  • Un journaliste marocain victime d’attaques par injection réseau au moyen d’outils conçus par NSO Group

    Dans un rapport publié en octobre 2019 et intitulé Maroc. Des défenseurs des droits humains ciblés par un logiciel espion de NSO Group, Amnesty International a présenté des informations détaillées sur le ciblage des défenseurs des droits humains marocains au moyen d’une technologie de surveillance développée par l’entreprise. Dans ce nouveau rapport, l’organisation révèle que le journaliste Omar Radi, autre défenseur des droits humains de premier plan du Maroc, a lui aussi été ciblé à l’aide des outils de l’entreprise.

  • Maroc. Des défenseurs des droits humains ciblés par un logiciel espion de NSO Group

    Amnesty International a découvert que, depuis octobre 2017 au moins, des défenseurs des droits humains du Maroc ont été pris pour cible par « Pegasus », le logiciel espion tristement célèbre produit par l’entreprise israélienne « NSO Group ». Ce rapport dévoile comment ce logiciel a été utilisé pour cibler illégalement deux défenseurs des droits humains marocains de premier plan, qui ont déjà fait l’objet de représailles de la part de l’État pour s’être exprimés ouvertement sur la situation des droits humains dans le pays. Amnesty International est en mesure de révéler que les deux personnes prises pour cible sontMaati Monjib, universitaire et militant travaillant sur des questions de liberté d’expression, et Abdessadak El Bouchattaoui, avocat spécialiste des droits humains impliqué dans la défense de manifestants pour la justice sociale du mouvement du Hirak, qui s’est déroulé dans la région du Rif en 2016 et 2017.

  • Formation de jeunes éducateurs aux droits humains au Moyen-Orient et en Afrique du Nord

    « Ces ateliers nous permettent de passer de la théorie à la pratique et comportent des éléments sur lesquels nous n’avons pas eu l’occasion de travailler avant, notamment l’animation, les méthodes de formation et la préparation des séances. En tant qu’animateur, j’ai toujours besoin d’être encouragé à développer mes compétences, et la formation régionale est le meilleur moyen de rencontrer des militants d’Afrique du Nord et d’échanger nos expériences », explique Houssam Hatim, un jeune éducateur marocain.

  • Des professionnels prennent position pour mettre fin à la violence et à la discrimination à l’égard des femmes au Maroc

    Au Maroc, les formations aux droits humains pour les professionnels ont permis aux femmes de faire face aux violences liées au genre et à la discrimination. Nous nous sommes entretenus avec l’une de ces professionnelles pour comprendre comment l’éducation aux droits humains favorise le changement au-delà des séances de formation.

  • Bref historique du piratage des organisations de défense des droits humains par les gouvernements

    Le monde a appris pour la première fois que les États pirataient des cibles « civiles » en 2010, lorsque Google a révélé avoir détecté une intrusion du gouvernement chinois. Adobe Systems et Juniper Networks ont alors confirmé avoir été attaqués dans le même cadre et de nouvelles investigations ont révélé que Yahoo et Symantec étaient également visés. Parallèlement, le gouvernement chinois ciblait les ONG tibétaines à l’aide de méthodes similaires et il continue de persécuter la communauté tibétaine.

  • Un nouveau FIL pour la nouvelle année!

    Grâce à vos commentaires, le magazine a désormais un nouveau look et un plus grand éventail d’articles, de notre nouvelle campagne sur les réfugiés syriens à nos sources de financement, en passant par des données factuelles et chiffrées sur les conflits à Gaza et en République centrafricaine. Vous trouverez des informations sur l’action d’Amnesty dans le monde, des articles et des interviews de personnes avec qui nous travaillons, de superbes photos, nos tweets et posts Facebook préférés de 2014, un quiz et bien d’autres choses encore.

  • La Tunisie promet de mieux protéger les droits des femmes

    Tunis a l’air d’une ville placée au carrefour d’une nouvelle identité, l’incertitude le disputant à l’inquiétude et à l’espoir. L’art de rue qui a foisonné lors de ce qu’on a appelé le Printemps arabe est encore très présent sur les bâtiments, témoignant à chaque coin de rue de l’espoir qui a nourri le soulèvement – la soif de liberté.Cette soif de liberté prenait toute sa dimension la semaine dernière, alors que je me trouvais dans la capitale tunisienne en compagnie de mes collègues d’Amnesty International Tunisie, pour remettre une pétition signée par plus de 198 000 militants d’Amnesty International dans le monde entier.Ensemble, nous appelons les autorités tunisiennes à mettre fin à la discrimination contre les femmes et les jeunes filles et à protéger les victimes de violence sexuelle.Et nous remercions toutes les personnes qui sont passées à l’action, car nous avons aujourd’hui fait quelques pas dans la bonne direction.Des représentants de l’État tunisien ont accepté en personne notre pétition lors d’une conférence de presse très médiatisée à Tunis. Ils ont promis de prendre des mesures spécifiques pour combattre les violences liées au genre : un projet de loi global qui permettrait de mieux protéger les droits des femmes en Tunisie doit être rendu public dans les semaines à venir.« Le ministère s’efforce de créer un service médical légal à l’hôpital Charles Nicolle, qui comportera une unité judiciaire spécialisée dans les violences liées au genre afin d’accueillir des femmes victimes de violences conjugales », a déclaré Mohamed Salah Ben Ammar, ministre tunisien de la Santé.Des avancées historiquesEn 2014, la Tunisie a connu des avancées historiques en matière de droits des femmes. En janvier, le pays s’est doté d’une nouvelle Constitution comportant de solides protections pour les femmes. En mai, il a levé officiellement toutes ses réserves à la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes.« Nous n’accepterons pas ces violences [liées au genre] et ce problème concerne tous les Tunisiens, les hommes comme les femmes. C’est une bataille qui touche l’ensemble de la société et opprime la moitié de la population », a déclaré Neila Chaabane.En renouvelant son engagement envers l’élimination des violences liées au genre, la Tunisie contribue à faire tomber les barrières pour les femmes en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Nous saluons cette dynamique dans le combat contre ces violences, mais il reste beaucoup à faire pour protéger les femmes et les jeunes filles contre les violences sexuelles.Rejoignez-nous du 25 novembre au 10 décembre pour 16 Jours d’action contre la violence liée au genre, et exprimez votre solidarité avec les victimes de violences sexuelles et liées au genre en Algérie, au Maroc et Sahara occidental et en Tunisie, dans le cadre de la campagne Mon corps, mes droits, campagne mondiale d’Amnesty International sur les droits en matière de sexualité et de procréation.Pendant ces 16 jours, nous organisons cinq actions contre la violence liée au genre sous toutes ses formes dans le monde, tout en célébrant les héros du monde entier qui défendent les droits des femmes. Rejoignez-nous, apportez votre pierre à l’édifice.

  • Rendre hommage aux femmes et aux hommes qui luttent pour les droits des femmes

    Le 25 novembre 1960, trois femmes, les sœurs Mirabal, ont été assassinées par des agents de l’État en République dominicaine parce qu’elles ont osé s’opposer au dictateur au pouvoir. Ces combattantes des droits des femmes – qui sont devenues des symboles de la résistance populaire et féministe – sont à l’honneur aujourd’hui, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.