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  • Condamnations à mort et exécutions 2024

    Les informations recueillies par Amnesty International sur le recours à la peine de mort dans le monde en 2024 font état de 1 518 exécutions recensées au cours de l’année, ce qui représente une hausse de 32 % par rapport aux 1 153 exécutions enregistrées en 2023. Pour la deuxième année consécutive, les pays procédant à des exécutions ont atteint le chiffre le plus bas jamais enregistré.

  • Stop au génocide des Palestinien·ne·s commis par Israël à Gaza

    Depuis plus d’un an, le monde est témoin de l’ampleur inouïe du bilan humain et de la destruction dans la bande de Gaza occupée. La violente offensive d’Israël contre la population palestinienne à Gaza a fait des dizaines de milliers de mort·e·s, décimé des familles entières, rasé des quartiers résidentiels, détruit des infrastructures essentielles et déplacé de force 1,9 million de Palestiniens et Palestiniennes, soit plus de 90 % de la population de la bande de Gaza, causant une catastrophe humanitaire sans précédent.

  • COP29. Les dirigeants doivent s’engager en faveur d’un financement climatique équitable et d’une élimination complète des combustibles fossiles

    Les dirigeant·e·s présents à la COP29 doivent tenir compte des appels à la justice climatique en plaçant les droits humains au cœur de toutes les décisions, et s’engager à accroître considérablement le financement climatique en fonction des besoins, ainsi qu’à procéder à une élimination complète, rapide, équitable et financée des combustibles fossiles dans tous les secteurs, a déclaré Amnesty International à l’approche du sommet des Nations unies sur le climat, qui se tient en Azerbaïdjan.

  • Écrire pour les droits

    La campagne annuelle d’Amnesty International Écrire pour les droits rassemble des personnes du monde entier unies dans un combat contre l’injustice et pour soutenir des individus ou groupes dont les droits humains sont menacés.

  • Dépénalisez l’avortement au Maroc

    Au Maroc, les femmes et les filles encourent des peines d’emprisonnement si elles tentent de mettre un terme à leur grossesse. L’avortement est érigé en infraction dans presque toutes les circonstances, même lorsque la grossesse est le résultat d’un viol. Les femmes et les filles enceintes sont contraintes de recourir à des avortements clandestins et non sécurisés, qui entrainent souvent des blessures, voire la mort. En outre, les femmes et les filles cherchant à obtenir un avortement illégal risquent d’être arrêtées et poursuivies pour relations sexuelles en dehors du mariage. Ces lois et politiques punitives privent les femmes et les filles d’accès à des soins de santé sexuelle et reproductive essentiels et bafouent leurs droits humains.

  • Maroc: « Ma vie est brisée » L’urgence de dépénaliser l’avortement au Maroc

    La criminalisation de l’avortement au Maroc a des conséquences dévastatrices pour les femmes et les filles. La menace d’emprisonnement crée un climat de peur poussant des femmes et des filles à recourir à des méthodes dangereuses pour mettre un terme à des grossesses non désirées, notamment des grossesses résultant de viols. Dans un pays où les relations sexuelles en dehors du mariage sont interdites, ces femmes et ces filles sont forcées de mener à terme la grossesse, ce qui les expose à des poursuites, l’exclusion et la pauvreté, ainsi qu’aux conséquences douloureuses des tentatives d’avortement ratées.